Le secteur de la pêche et des cultures marines recrute : et si vous changiez de cap ?

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En bref

  • Et si on vous disait qu’en France, la pêche et les cultures marines offrent de nombreuses opportunités de carrière ? 

  • Vous ne le saviez peut-être pas, mais notre pays compte plus de 5 500 kilomètres de littoral, 60 ports de pêche et 7 régions productrices de coquillages... Rien que ça ! 

  • Focus sur une filière qui recrute à tous les niveaux.

Crédit : Istok Bartosz Luczak

Pêche et cultures marines : décryptage d’une filière aux métiers variés

Si on associe facilement la pêche et les cultures marines au métier de pêcheur, quelle est la réalité du secteur ?

Côté pêche, la France occupe le 6e rang européen en termes de flotte, avec 11 500 navires et plus de 15 000 pêcheurs navigants. On distingue différents types de pêches embarquées : la grande pêche (+ de 20 jours en mer), la pêche hauturière (entre 4 et 20 jours en mer), la pêche côtière (1 à 3 jours en mer) et enfin la petite pêche (- de 24h en mer). C’est cette dernière qui recense la majorité des emplois, soit 50 % de la totalité.

À ces navigants, on peut ajouter environ 1 300 pêcheurs à pied professionnels qui récoltent les algues de rives, les coquillages, les crustacés, les poissons et les appâts.

Quant aux cultures marines, elles comprennent notamment la conchyliculture (culture des coquillages) et l’algoculture (culture des algues). La filière conchylicole représente plus de 8 500 salariés permanents. 

Le secteur propose donc une très grande variété de métiers : des fonctions embarquées comme matelot, mécanicien, capitaine ou patron de navire etc. ; et des fonctions de support à terre (administrative, logistique, comptable et financière, commerciale, qualité, ressources humaines,).

Pourtant dynamique, la filière fait face à un manque de main d’œuvre et recherche en permanence de nouvelles recrues de tous niveaux, prêtes à se lancer dans un de ces métiers-passion.

Et se former aux métiers de la pêche et des cultures marines présente de nombreux avantages de carrière : un âge de départ à la retraite privilégié pour les navigants, un système et un niveau de rémunération en cohérence avec les tâches à accomplir, une possibilité d’évolution professionnelle facilitée, via des certifications, diplômes, permis et acquis de l’expérience.

« Des conditions rudes », « une vie de solitude », « un secteur rudimentaire » : si les clichés sur le secteur ont la vie dure, les jeunes engagés dans cette filière nous montrent un visage moderne, bien loin de ces idées reçues, comme Elisa, apprentie matelot : « Les conditions de vie ont fortement évolué ces dernières années sur les bateaux… On peut prendre de bonnes douches chaudes ! ».  « S’il y a bien un endroit où tu n’es pas seul, c’est en mer, une fois que tu trouves le bon équipage, tu passes des moments supers… et maintenant on a le wifi ! »  nous explique Maxime, apprenti matelot également.

La filière, en phase avec son temps et consciente de la nécessaire préservation de l’environnement, fait évoluer ses pratiques et s’adresse aux personnes sensibles à la protection de la nature et de la biodiversité. Une remise en question et une évolution permanente, aussi au niveau technologique pour permettre d’améliorer en continu les conditions de travail et de sécurité.

Alors, si vous aimez le grand air et que vous n’envisagez pas votre avenir entre quatre murs… La pêche et les cultures marines sont peut-être faites pour vous ! Pour en savoir plus sur le secteur et découvrir ses métiers, rendez-vous sur JeunesDeter